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DIVERS

... au sujet de la psychothérapie, ses buts, la formation demandée, le diagnostic, la prévention et le traitement:

 

  • La psychothérapie mène graduellement aux évolutions personnelles profondes que vous souhaitez.

 

*L'exercice consistant à dépeindre le tableau de vos difficultés n'est qu'une première étape d'une psychothérapie réussie. Il mène inexorablement à la prise de conscience et solidification des forces de renouveau qui vous habitent en dépit de vos blessures.

 

*Si les séances ne sont pas perçues comme étant utiles par le patient et qu'au terme de quelques mois aucune évolution n'est observée c'est que d'autres facteurs de troubles entrent en jeu et/ou que la psychothérapie ne se fait pas.

 

  • En Suisse il faut pouvoir justifier d'un niveau Master en psychologie générale, d'une formation supplémentaire équivalente au MAS ou "Master in Advanced Studies" (3 ans) en psychothérapie et de nombreuses heures de supervision avant de pouvoir se dénommer "psychologue-psychothérapeute".  Le titre est légalement protégé.

 

*La psychothérapie est une démarche qui se distingue de l'écriture de rapports et de l'établissement de diagnostics de maladies mentales. La psychothérapie libère et met en mouvement, le diagnostic catégorise. Les deux démarches demandent en principe des spécialisations complètement différentes.

 

  • La psychothérapie telle que je la pratique ne fait pas de distinction entre la prévention et le traitement.  En effet elle s’occupe des deux en s'adressant à notre être profond.  Elle s'intéresse au changement souhaité, à l'évolution possible, aux retrouvailles avec notre essence en devenir.  Elle fait appel à divers points de vue théoriques et techniques en fonction de leur utilité par rapport à votre quête. Elle prévient et traite la souffrance psychique en vous réaxant dans votre énergie, votre parole, votre force, vos aspirations. Elle s'intéresse au présent, au futur et au passé si nécessaire, à vos rêves, vos actions.   Elle mène au changement grâce à l'intégration d'éléments oubliés, dissociés, réprimés, minimisés, projetés, niés, intellectualisés.  Elle tient compte de tout ce qui vous détermine mais crois aussi à votre liberté de choix. La durée d'une psychothérapie dépend de vos objectifs personnels: 10 à 30 séances pour des buts ponctuels, des années pour des difficultés complexes ou graves (traumatismes, situations d'abus, maladies chroniques).

* Les diagnostics mentaux sont utiles pour nous faire comprendre que nous ne sommes pas les seuls à présenter certains symptômes. Ils permettent la médicalisation et l'hospitalisation lorsque cela est nécessaire mais peuvent nous figer dans l'idée d'objet "malade" qui doit être "traité" peut-être à vie, potentiellement victime de vulnérabilité génétique ou autres dégâts auxquels on doit s'habituer.

 

* Ce qui est déterminant pour que les évolutions se fassent lors d'une psychothérapie, c'est la définition du problème, le lien et la confiance établies, l'écoute et la compétence du psychothérapeute menant à la verbalisation de l'indicible, la mise en route d'un processus interpersonnel caractéristique d'introspection à deux menant à des "insights".  Cela prend du temps.

 

  • L'exploration avec le psychothérapeute du quotidien et parfois du passé permet le soulagement d'émotions refoulées souvent vécues dans la solitude ainsi que des découvertes, des modifications dans les points de vue et des intégrations porteuses de changement.  Elle se fait par le biais de questions, d'éclaircissements, de définitions, de propositions, d'interprétations et d'exercices. Le cadre est confidentiel.​

Psychologie, psychothérapie

QUESTIONS FREQUENTES:
 

1.- Quel type de psychothérapie pratiquez-vous ?

J'ai intégré plusieurs perspectives théoriques (psychodynamique, systémique, cognitivo-comportementale) dans une approche personnelle intégrée où le point de départ est la clarification de vos objectifs. Je travaille à travers un dialogue constructif où vous savez tout de vous-même et je ne sais que où chercher des réponses ainsi que des informations et des techniques pour produire le changement auquel vous aspirez.

2.- Pourquoi est-ce que je me sens mal si tout dans ma vie est parfait? D'autres ont une vie bien pire!
Il existe un éventail extrêmement large de difficultés qui troublent les personnes normales à tout âge, indépendamment des signes extérieurs de richesse, de succès et de bien-être. C'est un défi sous-estimé pour tout le monde de faire face à la vie occidentale moderne avec son lot d'attentes, d'exigences élevées, d'accent mis sur l'individualisme et le matérialisme, de déni des aspirations d'autres ordres, de niveaux élevés de stress, de réseaux familiaux et de soutien social disjoints, de migration et d'instabilité accrues, de rôles changeants, de modèles de communication et de valeurs conflictuels… pour ne citer que quelques facteurs externes liés aux troubles intérieurs.

3.- J’ai de bons amis, en quoi parler à un psychothérapeute ferait-il une différence ?
Ce qui se passe entre un psychothérapeute et un client est différent. Le psychothérapeute ne vous implique pas – autant que possible – dans ses problèmes. Le temps que vous payez vous est entièrement consacré. Le psychothérapeute se concentre sur vous sans opinions ni jugements préconçus. Il n’a pas l’intention de vous faire faire des choses que vous ne voulez pas faire. Son rôle est seulement de faire en sorte qu’un processus spécifique se produise (le processus psychothérapeutique).

4.- Contacter un psychothérapeute, est-ce que cela signifie que je suis fou ?
Contacter un psychothérapeute ne signifie pas que vous êtes fou. Cela signifie que vous êtes suffisamment en bonne santé pour savoir que vous avez besoin d’aide.


5.- Et si je deviens dépendant de la psychothérapie ?
Vous restez libre à tout moment de prendre rendez-vous ou non. Si vous sentez que la psychothérapie vous plaît, c’est essentiellement parce qu’elle vous est devenue utile. Vous n’avez pas à craindre la dépendance, car à un moment donné, lorsque vous aurez atteint un niveau de confort dans ce que vous cherchiez à résoudre, vous souhaiterez faire une pause.

6.- Et si le psychothérapeute me juge ?
La formation et le travail du psychothérapeute visent à éclaircir, comprendre et démêler ce qui semble dénué de sens, ce qui semble irrationnel et inacceptable. Pour ce faire, le psychothérapeute adopte une attitude neutre de non-jugement.

7.- Et si le psychothérapeute essaie de m’influencer ?
Ce n’est pas le travail du psychothérapeute de vous donner des conseils ou d’essayer de vous faire faire ce qu’il considère comme approprié. Il peut exprimer une opinion dans certaines circonstances, par exemple en ce qui concerne votre sécurité, mais il vous fera clairement comprendre que c'est vous qui restez le maître à bord.

8.- Et si le psychothérapeute me déplaît ?
L’une de vos principales tâches au début est de trouver quelqu’un avec qui vous vous sentez à l’aise, respecté et écouté. La psychothérapie ne se fera pas si vous éprouvez constamment des sentiments négatifs envers le psychothérapeute. La confiance est essentielle. Prenez rendez-vous avec plusieurs professionnels et restez avec celui que vous préférez.

9.- Et si je ne veux pas m’attarder sur mon passé ?
Vous êtes censé dire à tout moment uniquement ce que vous ressentez le besoin de dire. Vous n’êtes ni obligé de tout dire ni de décortiquer votre passé. Avec le temps et l'établissement de la confiance, vous vous sentirez graduellement de plus en plus libre d’exprimer le flux de vos pensées, de vos sentiments et de vos émotions au fur et à mesure qu’ils surgissent. Vous découvrirez que souvent, ce sont les choses qui semblent bêtes, peu importantes et sans rapport qui aident à jeter un nouvel éclairage sur les situations présentées.

10.- Comment savoir si la psychothérapie est utile ?
Le meilleur indicateur de l’utilité de la psychothérapie est lorsque les symptômes qui vous préoccupent disparaissent et/ou que vous avez l'impression d'être sur la bonne voie pour atteindre vos objectifs. Cela ne se produira cependant pas immédiatement, surtout si vous souffrez depuis des années. C’est pourquoi il existe un autre bon indicateur auquel vous devez prêter attention : votre expérience subjective. Est-ce que vous « sentez » que les séances sont utiles ? Avez-vous l’impression de gagner en clarté, en compréhension et en nouvelles perspectives ? Si ce n’est pas le cas, si vous ressentez de la colère et du ressentiment à l’égard du thérapeute de manière répétée, si vous avez l’impression de stagner, soit vous avez de fausses attentes quant à ce qui peut être accompli en thérapie, soit vous devez tout simplement chercher un autre psychothérapeute. Discutez-en avec les psychothérapeute et procédez au changement.

11.- J’ai peur que le psychothérapeute détermine que je suis malade mentalement !
Les psychothérapeutes sont originellement formés pour se concentrer sur vos compétences, vos talents et vos forces. Tout le monde a des côtés positifs. C’est le côté constructif de vous qui vous mènera là où vous voulez aller. Personnellement je ne vais JAMAIS poser de diagnostic sans que vous le demandiez ni écrire de rapport sur vous si vous ne me l'autorisez pas.  Par ailleurs, chez moi, tout rapport est relu et approuvé par le client/patient avant d'être envoyé à qui que ce soit. Cela devrait être la règle absolue, toujours et partout, afin d'éviter que des erreurs et des mensonges ne soient écrits à votre sujet. En Suisse, vous avez droit à des copies de tous les rapports médicaux rédigés à votre sujet. Je vous recommande de toujours les demander à l'avance et de constituer votre propre dossier.

En Suisse, si vous souhaitez être remboursé par votre assurance complémentaire privée ou par votre assurance maladie internationale, sachez qu’à un moment donné, ils demanderont au psychologue-psychothérapeute une justification sous la forme d'un rapport et d’un diagnostic basé sur la classification des maladies mentales de l’OMS. Ceci est d'ailleurs exigé par les assurances maladies obligatoires, cela dès la première séance!!!
La conséquence malheureuse est donc pour ceux qui demandent pour des raisons financières à être remboursés par leur assurance de base,  une pose systématique de diagnostics (+rapports) à leur sujet, avec, potentiellement, une proportion artificiellement élevée pour la population suisse de diagnostics de maladies mentales selon l'OMS. Par ailleurs, si l'on veut continuer la psychothérapie entreprise avec le psychologue de son choix, il est obligatoire après 30 séances d'être suivi en parallèle par un médecin-psychiatre. La prescription de psychotropes s'en trouve augmentée puisque l'utilisation en fonction des diagnostics est encouragée par les entreprises pharmaceutiques et pour une question de protection juridique des médecins. Ceci n'est pas du goût de tout le monde et cette information devrait être donnée dès la première séance.

​12.- Qu'attend-on de moi ?
Parlez de ce dont vous vous sentez à l'aise et de ce qui a du sens pour vous.
Assistez aux rendez-vous fixés, sauf si vous êtes malade, bien sûr.
Payez pour les créneaux horaires réservés (sauf s'ils sont annulés une semaine avant).


13.- Comment se fait-il que les psychothérapeutes semblent aussi avoir parfois des problèmes dans leur vie personnelle ?
Les psychothérapeutes sont des personnes normales empêtrées dans la vie comme tout le monde. On attend généralement d'eux qu'ils soient des magiciens, des hommes et des femmes sages qui savent tout. Mais être psychothérapeute reste avant tout un métier. Les psychothérapeutes sont principalement censés connaître une méthode pour mettre en place un processus qui vous permettra d'arriver là où vous voulez aller. Les psychothérapeutes ne détiennent pas le secret pour éradiquer complètement les difficultés existentielles !

14.- Combien d'approches théoriques de traitement les psychothérapeutes sont-ils censés connaître ?
Les psychothérapeutes doivent se spécialiser au moins dans une approche reconnue pour pouvoir exercer. Cependant, la plupart des psychothérapeutes expérimentés, respectueux de la diversité des clients et des situations, ont étudié un ensemble de théories et de techniques qu'ils ont intégrées au fil des ans dans un style significatif, cohérent et personnel.

15.- Tous les psychothérapeutes traitent-ils tous les troubles ?
Il est de la responsabilité du psychothérapeute de savoir ce qu'il se sent à l'aise de traiter et suffisamment expérimenté pour ce faire. Il en discutera avec vous, généralement au début.

16.- Les clients peuvent-ils compter sur la capacité du psychothérapeute à choisir l'approche et les méthodes qui leur conviennent le mieux ?
Les psychothérapeutes certifiés ont la formation nécessaire pour diriger une psychothérapie. Cependant, votre contribution reste essentielle à tout moment pour informer le psychothérapeute de votre aisance avec les méthodes utilisées.

17.- Que demande-t-on en Suisse pour pouvoir légalement s'appeler psychologue-psychothérapeute ?
Il est nécessaire d'avoir un diplôme de niveau master en psychologie ainsi qu'une formation complémentaire certifiée en psychothérapie (comme un Master of Advanced Studies de 3 ans). Ce dernier permet d'obtenir une certification par la Fédération suisse des psychologues ainsi qu'une autorisation d'exercer par le département de la santé du canton et par l'organisation faîtière des assurances maladies, Santé Suisse.

18.- Quelle est la différence entre psychologues, psychothérapeutes, psychiatres, psychanalystes, conseillers et coachs ?


En Suisse :
Les psychologues sont des professionnels qui ont suivi des études équivalentes à celles du niveau master (ou plus) en psychologie. Cela leur permet de travailler dans n'importe quel domaine où des connaissances scientifiques sur le comportement humain sont nécessaires. Cela ne suffit cependant pas pour travailler et se faire appeler psychothérapeutes.

Les psychothérapeutes sont des professionnels du niveau master avec des années de formation supplémentaire certifiée en psychothérapie ainsi que des centaines d'heures de travail supervisé avec des patients. Le département de la santé du canton donne l'approbation finale.

Les psychiatres sont des médecins spécialisés dans la prescription de médicaments pour les problèmes de santé mentale. Certains d'entre eux pratiquent la psychothérapie. Les médecins généralistes ne sont pas des psychothérapeutes mais sont remboursés par les assurances médicales pour le temps passé à vous écouter en rapport avec votre état de santé.

Les psychanalystes sont des psychothérapeutes qui pratiquent un type très spécifique d'approche à long terme appelée psychanalyse, basée sur des dérivés des théories originales de Sigmund Freud, de Carl Gustave Jung notamment.  Ils se concentrent principalement sur la compréhension et la résolution de nos conflits intérieurs comme source d'angoisse.

Les conseillers et les coachs viennent d'horizons différents, infirmiers, travailleurs sociaux, physiothérapeutes et autres. Cela diffère de la psychothérapie en termes de durée et d'objectifs poursuivis. Certains d'entre eux font un très bon travail, cependant et pour votre protection, vous devez vérifier s'ils sont autorisés à exercer en tant que tel localement.

En Suisse, toute personne qui s'occupe de votre santé est censée demander et obtenir l'autorisation d'exercer auprès du Département de la santé du canton.


19.- La psychothérapie, c'est quoi ?
La psychothérapie est un processus spécifique qui se déroule entre un client et un psychothérapeute. Chez les adultes, la psychothérapie est une enquête entre vous qui détenez toutes les informations et le psychothérapeute qui a les connaissances pour mener le processus vers les résultats souhaités par le client à travers des questions et des interventions spécifiques. Chez les enfants, c’est un peu différent. Comme j’ai suivi une formation de psychothérapeute familiale, les parents sont toujours activement impliqués dans mon approche.

20.- Le type de psychothérapie choisi est-il essentiel au résultat ?
Indépendamment des antécédents théoriques, il a été démontré que les psychothérapeutes qui sont considérés comme «bons » mènent le processus de manière similaire.  Ils font des interventions similaires et partagent la même éthique. Il existe plus d’une centaine de types de psychothérapies. Les psychothérapeutes ont des personnalités, des expériences et des styles différents. Le facteur principal du résultat est la qualité thérapeutique de la relation établie entre vous-même et lui/elle.

21.- Combien de temps faut-il pour aller mieux ?

La durée de la psychothérapie est variable. Il n'est pas réaliste de s'attendre à aller mieux en quelques semaines si vous souffrez depuis des années. Les solutions rapides sont séduisantes mais peuvent ne pas durer. Les approches très longues et intenses nécessitant 3 à 4 séances par semaine sur plusieurs années sont censées aider à comprendre et à surmonter des variables psychologiques internes profondément invalidantes mais sont connues pour être inadaptées à certains troubles. Dans tous les autres cas, la durée varie en fonction de votre niveau de besoin, de la complexité de votre situation et des objectifs que vous souhaitez atteindre.

22.- Que se passe-t-il en psychothérapie ?
La psychothérapie évolue en trois phases : la phase initiale est essentiellement axée sur l'information ; la phase intermédiaire donne l'impression que l'on évolue d'une prise de conscience à une autre et la troisième phase émerge lorsqu'une zone de confort relativement stable a été atteinte. Les prises de conscience sont exaltantes car elles touchent l'esprit, le cœur, le corps et ont un impact sur le comportement. Elles donnent le sentiment qu'une évolution et un progrès sont possibles. Elles diffèrent de la connaissance intellectuelle.

23.- Une fois que le client a terminé une psychothérapie, est-il guéri ?
Une psychothérapie achevée ne vous immunise pas définitivement contre l'impact de nouvelles difficultés. Alors que la vie se déroule de manière complexe, imprévisible et inattendue, de nouvelles situations peuvent à nouveau vous submerger. En plus d'enseigner l'humilité, chaque difficulté peut être considérée comme une opportunité d'apprentissage. Il n'y a pas de honte à demander à nouveau de l'aide.

24.- Quand faut-il chercher à commencer une psychothérapie ?
Lorsqu'il vous semble urgent de trouver un espace privé et neutre pour régler certaines choses, par exemple:

  • SURMONTER des blocages, de la colère, de la tristesse, des peurs, du ressentiment, un fardeau

  • RETROUVER la passion, l'enthousiasme, la joie, la conscience de sa propre valeur, l'impression que la vie a un sens

  • MATÉRIALISER des rêves, des objectifs, des valeurs

  • GÉRER des situations complexes, des partenaires ou des relations difficiles

  • COMMUNIQUER efficacement


25.- Qui a besoin d'une psychothérapie ?
Toute personne qui ressent le besoin d'une psychothérapie en a besoin. Un besoin est un sentiment subjectif, pas toujours relié clairement à des circonstances extérieures difficiles. C'est toutefois toujours un signal d'alarme qui nous indique que quelque chose de réel nous perturbe. Il demande qu'on lui prête attention. Certaines personnes ressentent le besoin d'une psychothérapie mais se sentent coupables de la demander parce que tout semble prometteur. D'un autre côté, certaines personnes avec des circonstances de vie terribles ou des comportements en apparence profondément perturbés ou inadaptés refusent de contacter un psychothérapeute. Seuls ceux qui demandent de l'aide peuvent être aidés.

Par Rachel Chevallier Faustino

Psychologue-psychothérapeute FSP

GLN : 7601003920017

Disclaimer

Dernière révision:2024

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